Biographie de l’auteur

Frederic HUNTER
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« J’écris tout haut,
ce que je crie tout bas. »

 

Après un parcours dans la culture et la communication (sur Lyon et Rennes), Frederic Hunter est actuellement directeur de structures culturelles. Pendant sa carrière, il s’est vu récompenser de plusieurs prix, dont internationaux, en communication, et en poésie. Il collabore sur plusieurs oeuvres collectives, dont « Les Bruits du monde », « La rue s’est mise en route », ainsi qu’à des expositions.

A la fois bête de travail et terriblement créatif, ce touche-à-tout est l’auteur d’une pièce de théâtre représentée sur des Scènes Nationales, un peu partout en France, ainsi que de plusieurs romans ; « Pas comme les autres »« Trois jours ou les choses de la vie », « Les Cinq lois de la vie », « Sinon je meurs », et de la pièce « Au delà de la nuit »… Son roman, qu’il présente comme une épopée de la quête de l’amour (+600 pages) « Me manques« , ainsi qu’un recueil de poésies et d’aphorismes humoristique sur la rupture amoureuse, « 365 jours sans elle », présentent sa capacité de production, dans des styles très différents. Il tient plusieurs comptes sur Instagram, dont un compte de micro-poésies « Frederic__Hunter » (ayant pour thème la rupture amoureuse) et un autre pour présenter ses peintures « Frederic.Hunter.art« .

Touche à tôt, il est également créateur de jeux vidéo, programmeur web, expert en référencement, et lecteur de poésie (voir sa chaîne YouTube). Il est partenaire du projet « One laptop per child » à qui il propose des jeux vidéos éducatifs gratuitement.

Après une carrière dans les relations publiques pour un grand théâtre régionale, puis dans la communication traditionnelle et la communication numérique, qui l’ont conduit à animer des interventions publiques sur les nouveaux usages (notamment « De Facebook à Tik-tok »), il occupe aujourd’hui le poste de directeur de médiathèques dans une magnifique petite ville, quelque part en Bretagne. Désormais, il continue de cultiver sa passion pour la transmission des savoirs et l’accès à la culture pour tous.

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Extraits

 

« C’est dans la nuit qui naissent les étoiles. »

« La nuit me bouscule quand je marche dans le froid, je me sens nu et ridicule sans le manteau de tes bras »

« L’autre jour, c’était tout à l’heure, y’a cinq minutes, j’ai vu ton fantôme dans ma tête, encore, qui revenait. Hé puis, j’avais envie de l’embrasser, bien-sûr, enfin, tu sais. Tu sais bien. Tu sais déjà tout ça. Hé puis, comme c’était un fantôme, il a rigolé, et il s’est moqué de moi, et il est parti, et j’étais là, comme un con, avec mes lèvres dans le vide, à embrasser rien du tout. La bouche pendue dans l’air, comme un nuage dans le ciel. Et moi, j’avais juste envie de pleuvoir. »

« Sa toi, je me sens comme un oiseau.
À qui on a retiré le ciel. »

« Ce qui est dur, mais vraiment dur, c’est quand la relation est morte, mais pas l’amour. On est comme entouré par ce fantôme qui ne veut pas mourir. Il est là, tout le temps, dans chaque pièce de la maison. Il nous accompagne au bureau, à la boulangerie, et il marche à nos côtés dans la rue. Il prend place dans la voiture. S’assoit dans le caddy du supermarché. Il plonge même avec nous dans notre bain, quand on essaie justement de le fuir.
Et c’est bien au couché, dans notre lit, quand son ombre se mêle à la force de la nuit, qu’il est le plus lourd. Il vient se coucher contre nous. Il se blottit, et sa respiration silencieuse nous glace le sang jusqu’au coeur. Nos larmes, ni l’amusent, ni le blessent. Rien ne le touche. C’est précisément le pouvoir de toute son immortalité. On aimerait tellement le toucher, l’émouvoir, et peut-être le convaincre de s’en aller, de rejoindre le cimetière des amours brûlées. Mais non. Il est là, et rien n’y fait. »

« La vie est dure, l’amour est pire »

« Dépêche-toi. Arrête d’empêcher nos jours heureux qui ne se retourneront pas. Viens vite. Et cours ! Le monde est en feu. Leur vie est malade. Partons partout ! Je n’ai plus aucun temps de toi à perdre. »